Pourquoi acheter un 4×4 d’occasion ?

Ce type de véhicule est très pratique et s’adapte à toutes les situations. Néanmoins, il coûte très cher, surtout si c’est neuf. Pourtant, si vous choisissez d’acheter un 4×4 d’occasion auprès d’un professionnel, vous pouvez faire une économie considérable. Acheter un 4×4 auprès d’un spécialiste vous permettra de réduire au maximum les risques car ils peuvent vous garantir que votre véhicule est en excellent état. En effet, il est possible de trouver un 4×4 d’occasion en très bon état et pratiquement neuf. En plus, l’achat d’un 4×4 d’occasion vous permet d’économiser sur les frais d’assurances. Contrairement à une voiture neuve, la souscription à une assurance tout risque n’est pas requise.

Comment bien choisir son 4×4 d’occasion ?

Pour bien choisir son 4×4 d’occasion, il est indispensable de vérifier certains critères. Il est important de se poser les questions. Quel type de véhicule vous voulez acheter, grand, compact, classique ou bien le luxe? En effet, votre choix a une grande influence sur la carte grise. Aussi, pour éviter les arnaques, il vous est conseillé de faire une vérification minutieuse. D’abord, vérifiez l’état de la carrosserie, de l’habitacle et du compteur kilométrique. Ensuite, examiner l’état du moteur, du filtre à air, du bon fonctionnement de la climatisation, du chauffage, du verrouillage centralisé mais aussi de l’éclairage.

Une voiture confortable et originale que vous pouvez utiliser au quotidien

Une voiture de collection reste un véhicule que vous pouvez utiliser au quotidien. Elle peut être confortable et puissante. Mais en plus, elle est plus originale que les modèles que vous pouvez voir actuellement sur le marché. C’est le meilleur moyen pour vous faire remarquer.
On vous conseille notamment de garder les caractéristiques originales de votre voiture. Cela vous permettra d’avoir une bonne prise en main sur la route, mais surtout de préserver la valeur du véhicule. Bien plus qu’une simple voiture, c’est un investissement.

Un investissement sur le long terme

Effectivement, les voitures de collection prennent de la valeur en fonction de leur âge. Plus elles se font rares sur le marché, mieux vous allez en tirer lors de la revente. Tout dépendra aussi de la manière dont vous entretenez votre bolide.
Il s’agit d’un placement sur le long terme comme l’immobilier ou les grands crus. Les collectionneurs seront prêts à vous payer le prix fort pour l’acheter. Et ce sera d’autant plus le cas si avez une voiture de collection qui est en état de marche, qui a gardé toute son originalité et qui ne nécessite pas de réparation importante à faire.
Malgré la prolifération des nouvelles générations de voiture et de leur système high-tech, les voitures de collection sont toujours aussi prisées. Et elles peuvent notamment être financées par les crédits auto classiques.

Ce qu’il faut vérifier en premier

Il faut d’abord commencer par s’assurer que l’engin démarre correctement. Vous devez aussi vérifier que le carburateur fonctionne bien, et si ce n’est pas le cas, emmenez votre moto chez le mécanicien à moins que vous n’ayez les outils et le savoir-faire pour le réparer vous-même. Ensuite, il faut effectuer un examen minutieux de la batterie, si elle marche bien même après de longs mois de repos. Vous devez également contrôler la charge de la batterie, à l’aide d’un multimètre si vous en avez, sinon adressez-vous à votre mécanicien. Puis, vérifiez le niveau de tous les liquides : freins, refroidissement, l’huile moteur, etc. Il est essentiel de s’assurer qu’il n’y a aucune fuite nulle part.

Que faire ensuite ?

Ensuite, contrôlez tout le reste. Prenez suffisamment de temps pour voir si aucune pièce n’est abîmée ou ne s’est rouillée et pour voir quelles sont les pièces défectueuses à changer de toute urgence. Point important à ne pas oublier : les câbles, que ce soit de l’embrayage, des freins, du carburateur ou encore des feux. Si vous voyez qu’un câble commence à se dégrader, vous ne devez surtout pas utiliser la moto, vous devez d’abord faire réparer ce câble. Il vous faut aussi tester les commandes de la moto et vous assurer que chacune marche à merveille. En fait, vous devez effectuer ce genre de révision régulièrement.

Son fonctionnement

Le moteur d’une moto électrique fonctionne comme celui d’un vélo ou d’une trottinette électrique. C’est-à-dire que sous l’effet du champ magnétique d’un aimant, le rotor se met en mouvement et produit une énergie mécanique qui actionne les roues arrière. Cette énergie est ensuite régentée par un contrôleur qui détermine la puissance du moteur (puissance continue), l’intensité d’une accélération, le frein moteur ou la récupération d’énergie.

La batterie

La batterie de type Lithium-Ion ou Lithium-Polymère est la plus utilisée sur les motos électriques. Leur durée de vie varie entre 290 000 à 730 000 km. Pour ces motos, cette durée de vie de la batterie est un sujet à problème. Toutefois, il est possible de remplacer cet élément et de la recycler chez le constructeur. Il faut également noter qu’à la maison, une prise de 220V suffit pour recharger une moto électrique. Et sur route, les bornes publiques sont là pour les recharges rapides.

La récupération d’énergie

Les coups de frein valent de l’énergie pour une moto électrique. C’est-à-dire que les freinages, les décélérations et les freins moteurs effectués par le conducteur produisent de l’énergie transformable qui va recharger la batterie, même sur route et en pleine conduite.

L’entretien du véhicule

Il est particulièrement facile d’entretenir une moto électrique, car elle n’a besoin ni d’une vidange (sauf pour les modèles qui possèdent un système de refroidissement par huile), ni d’une révision, ni de remplacement de bougie ou de courroie à changer. Les principaux éléments à entretenir sont les pneus, les plaquettes de frein et la chaîne de transmission.

La boite de vitesse

Généralement, la boite de vitesse et l’embrayage ne sont pas nécessaires sur une moto électrique. Et cela, parce que son moteur possède un couple constant. La poignée d’accélérateur devient de ce fait, le variateur.

Le type de conducteur adapté aux motos électriques

Une moto électrique est accessible avec un permis A, A1, A2 et B, selon la puissance du moteur et l’âge du conducteur. De plus, assurer une moto électrique et obtenir son certificat d’immatriculation sont moins coûteux parce que cette dernière est moins exposée à des accidents et en théorie, ne causent pas de gros dégâts. À noter également que le calcul de la puissance fiscale la rend assez rentable et vous permet de bénéficier d’une cotisation d’assurance peu élevée si on compare à la conduite d’une moto classique.

Si vous êtes à la recherche de nouvelles sensations, essayer la moto électrique, vous ne risquez pas d’être déçu. En plus d’y prendre plaisir, vous ferez un geste pour l’environnement.

Le rail ou les airs ?

Contrairement à ce que beaucoup peuvent penser, l’avion ne coûte pas si cher pour des voyages en Europe. La concurrence est telle que les prix des billets baissent et les compagnies aériennes proposent une large gamme de prix. Saviez-vous que chez Volotea ou Ryanair, quelques compagnies parmi les ultra low-cost, un aller simple pour un pays d’Europe peut coûter seulement 5 euros ? Les autres compagnies plus traditionnelles comme Air France, c’est un peu plus cher mais cela reste raisonnable. Seulement, il faut ajouter le prix du taxi, le choix du siège, les bagages en plus, etc. Pour les transports en train, vous pourriez trouver des prix compétitifs mais seulement si vous réservez bien à l’avance. Un aller simple pour une ville d’Europe vous coûtera 29 euros au moins.

Temps de trajet

Côté durée du trajet, il faut dire qu’il est impossible de battre l’avion. Cependant, il ne faut pas oublier le trajet pour se rendre à l’aéroport, temps qu’il faut compter souvent en heures parce que les aéroports sont toujours éloignés des villes. Puis, il y a l’enregistrement et à l’arrivée, la récupération des bagages et enfin, les contrôles de sécurité. Au final, prendre l’avion dépense énormément de temps. Or, pour le train à grande vitesse, il est plus rapide que l’avion pour des destinations telles que Londres et Amsterdam. Comparez et prenez le transport le plus intéressant pour vous.

Demandez un duplicata de carte grise

Si vous avez perdu votre carte grise, si vous l’avez égarée, si on vous l’a volée, bref, si vous n’êtes plus en possession du certificat d’immatriculation de votre véhicule, alors, la seule option qui s’offre à vous, c’est d’en demander un duplicata. C’est la solution également si la carte grise est abîmée par l’usure ou détériorée d’une façon ou d’une autre. Dès que vous constatez la perte ou la détérioration de votre carte grise, agissez sans plus attendre. Ne tardez pas pour signaler le vol ou la perte de votre carte grise. Faites-en la déclaration auprès des autorités compétentes le plus vite possible afin d’en obtenir le duplicata dans les meilleurs délais. La démarche n’est pas compliquée et ne prend pas beaucoup de temps, aussi, réservez un peu de votre précieux temps pour l’effectuer. Pour ce faire, fournissez les pièces suivantes : une demande de certificat d’immatriculation via le formulaire Cerfa 13570*05 et cochez la case « Duplicata », une copie de votre permis de conduire (si vous êtes le titulaire de la carte grise), la copie de votre justificatif de domicile daté de moins de 6 mois et une copie de l’attestation d’assurance. Si votre véhicule a plus de 4 ans, vous devez aussi envoyer la copie du contrôle technique à jour, en tout cas, toujours valide le jour de votre demande de duplicata de carte grise. Si, pour des raisons personnelles, vous ne pouvez pas vous occuper de cette démarche, vous devez vous procurer un mandat au professionnel agréé à qui vous la confiez.

Mais en fait, qu’est-ce qu’un duplicata de carte grise ?

Si vous n’avez jamais eu à demander un duplicata de carte grise, peut-être que vous vous interrogez à ce propos. En fait, un duplicata de carte grise n’est rien d’autre que la réplique exacte de votre carte grise d’origine. L’ensemble des informations contenues sur votre première carte grise sera rigoureusement repris dans ce duplicata. Les seules différences entre les deux, c’est la mention « duplicata » sur le second et la date du duplicata. En d’autres termes, le duplicata que vous recevrez aura exactement la même valeur légale que la première. Il répond aussi aux mêmes exigences d’édition et de sécurité. Si des membres des forces de l’ordre vous demandent vos papiers, ce duplicata ne vous posera aucun problème puisqu’il est tout à fait aux normes. Il vient juste remplacer la carte grise perdue, volée ou détériorée, il est valide tandis que l’original ne l’est plus. À préciser que si votre véhicule est encore immatriculé FNI lors de votre demande de duplicata de carte grise, vous devez en parallèle, procéder à l’immatriculation SIV. Cela implique le changement de vos plaques d’immatriculation.

Pour obtenir un duplicata de carte grise, que devez-vous fournir ?

Pour l’obtention d’un duplicata de carte grise, tout dépend de votre situation. Par exemple, si votre carte grise a été volée, vous devez présenter aussi une déclaration de vol dûment remplie et sur laquelle sont apposés le cachet et la signature de la police. Mais si la carte grise est égarée, vous devez fournir une déclaration de perte de carte grise dûment complétée et que vous aurez signée. Maintenant, en cas de carte grise illisible, déchirée ou barrée suite à l’annulation d’une vente, vous devez fournir une photocopie de la carte grise ainsi détériorée. Cependant, au moment de votre demande de duplicata de carte grise, il est essentiel que le contrôle technique du véhicule soit valide. Si ce n’est pas le cas lors de l’enregistrement de votre demande, celle-ci pourrait être bloquée, autrement dit, vous n’obtiendrez pas un duplicata de votre carte grise. Mais une solution s’offre à vous, c’est bien sûr celle d’effectuer un nouveau contrôle technique.

Faire une carte grise sans contrôle technique ?

Le problème parfois, c’est que le renouvellement du contrôle technique n’est pas possible sans carte grise. Vous pensez que vous êtes pris dans un cercle vicieux duquel vous ne pourrez pas vous extraire ? Non. Adressez-vous à un garage agréé pour obtenir une Fiche d’Identification du Véhicule (FIV). Puisque ce document reprend les caractéristiques techniques de votre véhicule, vous pouvez vous en servir pour passer votre contrôle technique et ceci fait, il ne vous reste plus qu’à le joindre à votre dossier de demande de duplicata de carte grise. Concrètement, comment faire une carte grise sans contrôle technique ? Une fois que vous avez effectué votre demande de carte grise, contactez le service client pour informer que vous n’avez pas de contrôle technique ou que celui-ci n’est pas à jour. Vous recevrez une fiche d’identification qui vous permettra de vous rendre au contrôle technique sans carte grise. Puis, lorsque vous aurez le document, retournez vers le service client et envoyez-le avec le reste de votre dossier, c’est-à-dire les pièces justificatives. Pour information, cette solution s’applique uniquement pour une perte de carte grise sans contrôle technique, ce qui implique qu’il est impossible de demander un duplicata de carte grise avec une contre-visite. Retrouvez ici toutes les informations utiles à savoir pour demander le duplicata de la carte grise de votre véhicule sans le procès-verbal de contrôle technique.

Les risques existent en automne

L’automne comporte quelques risques auxquels il ne faut pas fermer les yeux si on roule à moto. Vous le savez, en automne, il pleut souvent et les risques de glissade sont bel et bien réels. Les feuilles mortes qui tombent et qui tapissent les routes sont aussi bien souvent glissantes. Ce sont surtout ces deux facteurs, les routes mouillées et les feuilles mortes qui empêchent une parfaite adhérence des roues à la chaussée. Donc, pour rouler à moto en toute sécurité en automne, quelques règles sont à suivre : ne pas freiner brusquement, ne pas accélérer brusquement non plus, plutôt ralentir et anticiper et rester à distance avec les autres véhicules, que ce soit ceux devant vous que ceux à l’arrière.

Pour une visibilité optimale

En automne, la luminosité baisse nettement, le soir tombe de plus en plus vite et même en journée, le ciel peut être gris. Lorsque vous roulez sous la pluie, votre visibilité peut être réduite à cause des gouttes mais aussi en raison de la buée qui peut se former au niveau de vos yeux. Alors, pour assurer votre sécurité, pensez à nettoyer soigneusement votre visière avant chaque sortie à moto, ainsi, vous verrez bien ce qui se passe autour de vous. Mais pour que vous, vous soyez bien vu également, veillez à ce que votre casque et votre blouson comporte des bandes auto-réfléchissantes bien visibles.

Les avantages d’un voyage à moto

Certes, à moto, vous ne pouvez pas embarquer toute votre famille et vous n’avez pas non plus la possibilité d’emporter beaucoup d’affaires. Mais la moto se prête à toutes les destinations (ou presque), ce qui la rend vraiment intéressante. Cependant, une bonne préparation s’impose. Premièrement, faites le bon choix de la moto. Réfléchissez à la distance à parcourir, l’aller-retour donc, mais en plus, les trajets que vous ferez sur place pour visiter des sites ou pour vos loisirs. En deuxième lieu, informez-vous sur l’état des routes par lesquelles vous devriez passer. Enfin, réunissez toutes ces informations et choisissez la moto la plus adaptée.

Moto tout-terrain

Pour être sûr de ne pas faire le mauvais choix, prenez donc une moto tout-terrrain. Avec un tel engin, vous ferez des kilomètres sans broncher et vous pourrez franchir tous les obstacles qui pourraient se présenter en chemin. Ce qui ne vous dispense pas d’une visite technique avant le départ. Faites faire une évaluation complète de votre deux-roues : pneus, freins, moteur, huile, etc. Puis, vérifiez les papiers, que la moto soit la vôtre ou louée : carte grise, assurances, certificat de conformité et permis. Sur ce dernier point, rappelez-vous qu’il faut un permis de conduire A pour une moto de plus de 50 cm³.

Une formation très utile aujourd’hui

Un mécanicien automobile peut aussi être appelé garagiste ou technicien automobile. Celui-ci doit être à même de s’occuper de véhicule industriel ou de véhicule de transport en commun. Mais étant donné l’évolution fulgurante qui a marqué l’industrie automobile ces dernières années, tout mécanicien est de nos jours obligé de faire évoluer son expertise afin de pouvoir assumer son travail correctement. Ce qui est intéressant, c’est qu’après quelques années d’expérience, un mécanicien peut accéder au poste de chef d’équipe ou chef d’atelier. Si vous êtes attiré par ce métier, sachez que si vous avez des notions en comptabilité et en gestion, la possibilité vous est offerte de monter votre propre entreprise.

Les missions d’un mécanicien

Le rôle d’un mécanicien tourne essentiellement autour de la maintenance, l’entretien et la réparation de véhicules. Il peut être amené à poser un diagnostic sur un problème de voiture et de déterminer l’origine de celui-ci. Avec l’évolution technologique actuelle, le mécanicien dispose de toute une série d’appareils pour tests techniques. Lorsque le problème est défini de manière formelle, il a pour mission de remplacer ou de réparer les pièces endommagées. En cas de problème grave, il doit d’abord établir un devis et le soumettre au client. Si celui-ci est d’accord sur le devis, il doit en passer la commande et attendre la livraison avant de pouvoir remettre en état le véhicule ou remplacer les éléments défectueux. Une fois qu’il a effectué la réparation ou le remplacement, il doit procéder à des essais sur route qui l’amèneront peut-être à quelques ajustements et réglages avant de livrer le véhicule à son propriétaire. Mais en parallèle, un mécanicien doit aussi être une sorte de conseiller auprès du client, l’accompagner dans le but de le renseigner sur différents points importants concernant sa voiture, l’entretien courant qu’il doit effectuer, etc.

Quelles formations sont-elles requises ?

Pour devenir mécanicien automobile, il faut un CAP maintenance qui délivre les compétences nécessaires. Cette formation se fait en 2 ans, et au terme de cette période, l’apprenti est capable de mener un diagnostic et de faire les principales réparations sur un véhicule. Pour pouvoir effectuer un entretien plus approfondi et plus élaboré et comprendre chacun des processus des réparations des véhicules, cela nécessite le BAC Pro. Cette même formation qui dure 3 ans permet d’accéder à des connaissances en gestion d’un atelier, en conseil et en assistance client. C’est durant cette formation que l’élève mécanicien se spécialise dans l’une de ces 3 options : option voitures particulières, option motocycles ou option véhicules industriels. Les meilleurs peuvent espérer trouver un emploi chez un concessionnaire de grandes marques ou des contres automobiles.

Quelles sont les causes possibles du mal des transports ?

Si vous avez le mal de mer, de terre ou de l’air, cela peut provenir de plusieurs choses. A priori, le mal des transports ou la cinétose est dû à un souci de coordination entre l’audition et la vue. Ce qui est tout à fait cohérent vu que l’oreille renferme l’organe de l’équilibre. En clair, le mal des transports se traduit par un trouble au niveau du cerveau lorsque la vue envoie une information différente de celle transmise par le vestibule. Il peut aussi résulter de paramètres psychiques comme le stress ou de facteurs environnementaux comme les odeurs. Dans certaines situations, c’est juste l’ampleur du mouvement effectué (turbulences, virages importants, etc.) par le véhicule à un moment donné qui cause la naupathie.

Quelles sont les mesures de prévention ?

Pour faire un voyage en toute sérénité, il est parfaitement possible de prendre diverses mesures préventives. La première d’entre elles est de prendre un repas léger avant de partir. Toutefois, il faut veiller à ce que le ventre ne soit pas vide. Le malaise peut également être évité en limitant la mobilité du corps et de la tête pendant le voyage. Vous pouvez vous faire aider d’un oreiller de voyage en cas de besoin. En plus de ne pas ingurgiter de l’alcool avant le voyage, pensez également à regarder droit devant en fixant un point précis à l’horizon durant le trajet.

Quels sont les traitements possibles ?

Les préventions ne suffisent pas forcément pour se débarrasser du mal des transports. Ainsi, on peut laisser la place aux médicaments. À noter qu’il est toujours préférable de demander l’avis d’un médecin avant de prendre un médicament précis contre le mal des transports. Les antihistaminiques sont les plus utilisés par les grands voyageurs. C’est sûrement parce qu’ils sont accessibles en vente libre. L’évolution de la technologie a aussi fait apparaître les patchs et les bracelets anti-mal de transport. Les patchs s’obtiennent sur prescription médicale et offrent une protection de trois jours. Les bracelets quant à eux, font appel au principe de l’acupuncture par le biais du massage de poignet. Dans tous les cas, pensez d’abord à prendre conseil auprès de votre médecin traitant avant de réaliser un quelconque traitement.